Parfois je suis un génie à l’insu de mon plein gré.

Vous vous souvenez lors d’un précédent billet, je flippais en voyant apparaître des taches rouges de + en + grosses sur mon poisson noir?, et bien c’est ça,

mon poisson noir se change progressivement en poisson rouge.

C’est absolument horrible, on dirait un psoriasis ou que je l’aurais écaillé précipitamment et pas entièrement.

Du coup, moi qui voulait un poisson noir, je vais me retrouver avec 2 poissons rouge…

Bon, faut voir le bon côté des choses, au moins, c’est pas une maladie.

Petite vidéo trouvé sur le net.

L’instant Bisounours du week-end. 😉

Sympa non?

Rien à voir avec le look d’hier (pour ceux qui m’ont vue, les autres vous aurez qu’à me croire sur parole)…

C’est le come-back de la pute à frange aujourd’hui. Pourtant j’en voulais plus, mais aujourd’hui allez, soyons folles, téméraires et assurées!

Et sinon j’ai remis le tel devant ma tronche parce que c’était en partant bosser et j’étais pas vraiment réveillée.

Je ne le suis toujours pas d’ailleurs.

Ou alors c’est encore la faute à ma gueule de bois d’hier (et donc de la soirée d’avant-hier).

Vous suivez?

ça c’est sur la place des Terreaux après le pot du bureau, le resto et avant d’aller au Club FG danser un peu…

Et donc là, on a bu hein, et peut-etre l’aurez-vous deviné, c’était mercredi et le mercredi c’est ravioli c’est Karaoké!

Alors bon, y avait à peu près 23 chansons (classées par titre et non par artiste, la loose pour trouver quoi que soit!) et le texte était écrit si petit sur l’écran que je devais passer derrière le bar pour pouvoir lire! (ben vi pas mes lunettes avec moi).

Sinon c’était du suicide vocal et au téléphone on me prend pour Marguerite Duras.

Post-mortem.

Il y a plusieurs semaines j’ai testé le nouvel ami de ma trousse à pharmacie.

ça tombait bien, moi qui suis une vraie calamité ambulante et que je suis le cauchemar redouté de tous les pieds de tables, angles de murs et autres petits tétons de fer dépassant d’un quelconque endroit… c’est pas compliqué, j’ai même trouvé le moyen de me planter un coin d’interrupteur sous l’ongle et de retourner l’ongle en me fichant le doigt dans le trou du penne d’une porte… si,si. Ah mais bien viser c’est un métier ma p’tite dame! Voir, un art de vivre. (soupir)

Le Baume universel le nommé Vegebom.

Grâce à lui ma trousse à pharmacie va fortement s’alléger car à part soigner la gueule de bois et faire la vaisselle ce Baume Bio fait presque tout!

Il convient pour: les gerçures des mains, les pieds secs, les piqûres d’insectes, les coups de soleil, les bosses, les bleus, la fatigue et la récupération musculaire, les voies respiratoires…

À base de 8 plantes régénératrices (huiles essentielles d’eucalyptus, cajeput, menthe, laurier, camphre, muscade, cèdre et camomille matricaire) on renoue avec le concept des remèdes simples de nos aïeules (revisités) qui pensaient et pansaient avec ce que Dame Nature nous offrait.

Bio jusque dans l’emballage car il faut noter qu’ils sont recyclables et qu’ils ont choisi de privilégier des encres végétales.

Bon et bien, force est de constater que la nature/ le destin/ le hasard (rayez la mention inutile) est assez joueur puisque je me suis simplement fait piquer sur le pied depuis tout ce temps (put* vite! Du bois! tiens, je vais toucher ma gueule, à un jour près elle était encore de bois ça devrait compter).

De rage, presque déçue de ne pouvoir mieux tester la chose IN SITU, et que je ne retrouvais pas mon baume anti-ampoules depuis des semaines, je me suis tartinée les talons avec, et d’ampoules aux pieds, point n’eûs!

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